Ménopause et bouffées de chaleur : que faire pour mieux passer ce cap ?

Ménopause et bouffées de chaleur : que faire pour mieux passer ce cap ?

Pourquoi un tel changement et de telles sensations désagréables ? Que se passe-t-il au moment de la ménopause chez la femme ? Pourquoi des bouffées de chaleur surviennent-elles semaine après semaine ? Et quelles solutions adopter pour réduire ces multiples désagréments ? Les Laboratoires Le Stum vous apportent des réponses.

Que se passe-t-il dans le corps de la femme à cette période charnière de sa vie ?

Toutes les femmes subissent plus ou moins fortement les désagréments qui accompagnent généralement la ménopause. Cette dernière se manifeste généralement entre 40 et 50 ans et peut avoir une durée très variable (de 1 à 8 ans). 

En France l’âge moyen est de 51 ans ; avant 40 ans on parlera de ménopause précoce et après 55 ans de ménopause tardive. Elle est déclenchée par l’épuisement du stock de follicules ovariens. Ces follicules, indispensables pour la reproduction, contiennent chacun un ovocyte (ovule immature) et sont situés dans les ovaires. Ce stock prédéterminé à la naissance (en moyenne 1 millions d’ovocytes) diminue naturellement tout au long de la vie. Lorsque que ce stock devient très faible (inférieur à 1000), les ovaires arrêtent alors progressivement de fabriquer les hormones féminines « œstrogènes » et « progestérone ». A partir de ce moment-là, les règles vont s’espacer (préménopause) jusqu’à s’arrêter et ainsi confirmer l’arrêt de la fertilité. La ménopause se caractérise et est avérée par l’arrêt définitif des menstruations depuis au moins 12 mois.

Ce changement hormonal ne survient pas brutalement, il peut s’étendre sur plusieurs années et crée des dérèglements très variables, plus ou moins intenses selon les femmes : prise de poids, irritabilité, perte d’élasticité de la peau, risque cardiovasculaire accru, ostéoporose à long terme et surtout les fameuses bouffées de chaleur pour plus de 50% d’entre elles !

Des facteurs héréditaires, climatiques et tabagiques influencent l’arrivée de la ménopause et ses troubles induits. Il est reconnu par exemple que chez les fumeuses la ménopause survient 1 à 2 ans plus tôt que chez les non-fumeuses ; ou encore que le poids du facteur héréditaire joue un rôle certain dans l’âge de survenue de la ménopause. 

Pourquoi cette chute hormonale entraîne-t-elle ces bouffées de chaleur et d’autres gênes multiples ?

Les œstrogènes jouent un rôle dans le mécanisme régulateur de la température corporelle de la femme. L’arrêt de leur production pendant la ménopause altère donc ce mécanisme et induit ces soudaines bouffées de chaleur qui provoquent transpiration, sueurs nocturnes, palpitations, frissons et même anxiété. Ces désagréments durent de quelques secondes à plusieurs minutes, plusieurs fois par jour ; la fréquence varie beaucoup d’une femme à l’autre. Ces bouffées de chaleur se produisent également la nuit, altérant ainsi la qualité du sommeil (30% des femmes) et même la qualité de vie (fatigue, lassitude morale). Heureusement ce phénomène diminue avec le temps, même s’il peut persister chez certaines femmes. Pour 80% des femmes, les bouffées de chaleur sont le trouble le plus désagréable de la ménopause.

Par ailleurs, les hormones féminines interviennent dans d’autres fonctions de l’organisme :

- Bon fonctionnement cognitif

- Contrôle des émotions et du comportement

- Stimulation de la libido

- Bon état d’hydratation de la peau et des parties intimes

- Maintien de la densité osseuse

- Régulation du métabolisme des lipides et de l’insuline

La chute hormonale liée à la ménopause peut donc impacter négativement ces fonctions. Elle a également des effets directs sur l’aspect physique du corps de la femme. La prise de poids notamment au niveau du ventre est une résultante souvent citée par la gent féminine ; la carence en œstrogènes entraînant malheureusement une augmentation du volume des cellules graisseuses. En parallèle, un autre phénomène observé chez 30% des femmes est la chute de cheveux ; ils deviennent plus fins et tombent en plus grande quantité qu'avant la ménopause. Celle-ci est donc une période de grands bouleversements, et même de stress, pour la femme qui voit son corps et son métabolisme changer !

Quelles solutions pour mieux vivre sa ménopause, les bouffées de chaleur et autres troubles hormonaux ?

Une alimentation équilibrée privilégiant fruits, légumes et fibres ainsi qu’une réduction du gras et du salé, une bonne hydratation, la pratique d’une activité physique régulière et la diminution de la consommation de tabac et d’alcool, permettront d’améliorer cette étape de vie compliquée. La relaxation peut également aider à réduire la fréquence des bouffées de chaleur¹.

Pensez également à privilégier des tenues vestimentaires adéquates en fibres naturelles comme le lin ou le coton et des vêtements amples qui laisseront la peau respirer et diminueront cette sensation de chaleur. Ces bonnes habitudes ne suffisent malheureusement pas toujours et les compléments alimentaires peuvent être une aide précieuse pour mieux supporter certains désagréments de la ménopause.

Salvitium, issu de la recherche des Laboratoires Le Stum, a été justement développé pour accompagner toutes les femmes concernées par la préménopause et la ménopause. C’est un complément alimentaire naturel qui agit de façon non hormonale.

Sa formule unique, à base d’extraits de sauge, de pomme et d’eau de mer, permet de limiter les désagrégements liés à ce bouleversement : l’extrait de sauge, par exemple, aide à atténuer les sueurs présentes lors des bouffées de chaleur et contribue au bien-être féminin.

Grâce à Salvitium, les femmes peuvent mieux vivre leur ménopause et améliorer leur état de bien-être général après une cure de 3 mois, selon les résultats de l’étude clinique réalisée. Ne pas hésiter à renouveler cette cure si le besoin s’en fait sentir et à demander conseil auprès de votre médecin si vous prenez déjà un traitement.

En parallèle, Tricatione est la solution complémentaire idéale pour entretenir ses os et ses articulations, grâce à la silice de prêle associée à la vitamine D3 végétale. La prêle contribue à maintenir des articulations souples et à reminéraliser le corps. En effet, la silice qu’elle contient est le 3ème oligoélément le plus abondant dans le corps humain ; elle est présente dans nombreuses tissus comme les os, les ligaments, les tendons mais aussi dans le collagène du cartilage des articulations et de la peau. 

La vitamine D3 contribue en parallèle au maintien d’une ossature normale. Un extrait minéral d’eau de mer et une huile d’avocat d’origine biologique complètent la formule de Tricatione et aident à la stabilité ainsi qu’à l’assimilation des principes actifs de la prêle.

Tricatione est aujourd’hui une référence depuis plus de 30 ans dans le domaine ostéo-articulaire et est recommandé par de nombreux professionnels de santé.

¹ Travaux du Dr Gary Elkins - Baylor University

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